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Les origines de la TCSB

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Cette discipline est née aux U.S.A il y a plus d'un siècle sous l’égide de W.G. Sutherland (ostéopathe).

W.G. Sutherland (1873–1954) était intrigué par le fait que les os temporaux du crâne fussent biseautés "comme les ouïes d'un poisson" d'une manière conçue pour permettre du mouvement.

 

Il a mis en évidence le Mouvement Respiratoire Primaire (MRP) du corps qui est toujours un des fondements de la TCSB.

Ses recherches ont donné lieu à un mouvement crânio-sacral qui s'est démarqué de la pratique conventionnelle ostéopathique Nord-Américaine.

 

Puis, la thérapie crânio-sacrale s'est scindée en deux mouvements, l'un biomécanique et l'autre biodynamique.

Le second, la TCSB, est inspiré des travaux de l'embryologiste Erich Blechschmidt (1904-1992) et du thérapeute biodynamique britannique Franklin Sills (1947).

 

De nos jours, la TCSB est en constante évolution, intégrant petit à petit les avancées progressives des pionniers dans ce domaine comme Franklin Sills, mais aussi les avancées dans d'autres domaines, neurologie, psychologie, etc...

 

Par exemple, et non exhaustivement, la TCSB est familiarisée avec, et utilise des concepts empruntés à:

- la théorie de l’attachement (John Bowlby),

- la “Somatic Experiencing" (Peter Levine),

- le “Focusing” (Eugene Jendlin),

- la théorie polyvagale (Stephen Porges).

 

Dans l'avenir, grâce aux recherches scientifiques en cours, principalement en Grande-Bretagne, la TCSB devrait pouvoir déployer des bases scientifiques plus solides pour pouvoir étayer ses effets bénéfiques.

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